En ayant visité ce site et après vous avoir fait une meilleure idée de ce processus agréable et des nombreux avantages que la technique engendrait sur tous les aspects de la vie, vous aurez sans doute bien du mal à comprendre que l’on puisse arrêter une telle pratique. De toutes les techniques de méditation qui aient jamais été étudiées, la Méditation Transcendantale connait aussi le plus faible pourcentage d’abandon.
Mais pourtant, cela arrive que des méditants arrêtent. En voici les 3 raisons principales. Une des raisons, c’est que la technique n’apporte pas les résultats escomptés, mais les deux autres raisons sont, dits avec un peu d’ironie sans doute, que la technique donne bien les résultats voulus, mais que l’on profite tant de la vie que l’on ne peut plus libérer d’espace pour revenir à la source de ce nouveau succès. Dans tous les cas, un bon suivi et une compréhension intellectuelle accrue quant à l’influence de la MT sur tous les aspects de la vie sont nécessaires.
1. La technique n’est pas agréable à pratiquer et ne donne pas les résultats escomptés
La cause est identique. Le processus naturel de la méditation a disparu. D’une manière ou d’une autre, on se concentre et on fait des efforts. On n’est donc plus dans la Méditation Transcendantale. Cela peut arriver et c’est facile à rectifier. Un professeur de MT est formé à le faire. Si quelqu’un apprend la MT, il peut à tout moment et toute la vie durant, demander à son professeur de MT de vérifier sa pratique et si nécessaire, de le piloter. L’erreur d’un pratiquant de MT dans ce cas n’est pas d’avoir fait quelque chose de travers, ce qui peut arriver à chacun d’entre nous. Son erreur est plutôt de ne pas saisir l’opportunité qui lui est offerte de rectifier ce qu’il fait mal.
2. L‘objectif est atteint
Beaucoup commencent à pratiquer la Méditation Transcendantale dans un but précis, par exemple pour se sortir d’une dépression. Ils se rendent compte après un certain temps que la dépression est partie, que le but est atteint. Ils ont donc perdu leur motivation principale à continuer la pratique.
3. Ils ont tant d’énergie qu’ils n’ont plus le temps de méditer.
Quand certains commencent à méditer, ils gagnent tant d’énergie qu’ils se décident à profiter de la vie ou veulent trop en faire qu’il ne leur reste plus de temps pour méditer.
L’erreur dans les deux cas est d’oublier que nos récents succès ne sont que des effets secondaires d’un changement plus holistique, et que la vie peut être tout à coup bien belle, ce n’est sans doute qu’une petite étape comparé à tout ce qui est encore possible. A moins que vous ne vous sentiez véritablement heureux 24h sur 24, 7 jour sur 7, en pleine santé et toujours vous-même, à l’abri du moindre problème qui ne trouve pas de solution, il y a toujours moyen de vivre quelque chose de mieux encore. Mais ce qui veut aussi dire qu’à moins de se sentir en union parfaite avec tout et chacun autour de soi, on peut toujours vivre une meilleure et plus belle expérience.
Une autre raison est que l’expérience de la transcendance, certainement au début de la pratique, est vécue avec subjectivité, donc pas toujours avec clairvoyance. Il se peut que le lien entre la pratique de la MT et les nouveaux succès dans la vie ne soit pas toujours établi.
Pour ces deux raisons, le suivi par un professeur de MT est à nouveau des plus essentiels, afin qu’une compréhension intellectuelle accrue puisse se manifester. Nous arrivons à analyser si l’on pratique la MT correctement, nous pouvons aussi échanger nos expériences avec d’autres professeurs de MT et nous n’oublions plus que la possibilité nous est toujours offerte d’y recourir.
C’est pour cette raison que le cours pour enseigner la MT est si développé, qu’une telle profondeur a été donnée au suivi, et que le prix soit si élevé par rapport à avant. Il fût un temps où Maharishi enseignait la MT gratuitement à qui voulait l’apprendre, mais en fin de compte, il s’est avéré que les résultats étaient bien meilleurs avec un suivi plus soutenu.
L’apprenant ne doit pas non plus se sentir honteux de demander régulièrement à son professeur de vérifier sa pratique : il a payé pour cela. Combien de fois le méditant va faire appel au suivi ? Cela dépend de lui-même, mais nous devons pouvoir l’offrir à quiconque en ressent le besoin. Parce que nous voulons qu’il soit très facile de franchir le pas pour demander un suivi supplémentaire, nous avons aussi décidé de calculer le coût éventuel de ce suivi dans le tarif du cours, ainsi nous n’avons plus rien à demander en plus.